la forêt de mon âme

la forêt de mon âme

Elle était sombre la forêt,
La forêt de mon âme,
Jamais elle ne s'éclaircit,
Toujours on la blâme...
Immobile dans le temps,
Immobile tout le temps.

Elle était grande la forêt,
Si grande que je me perdait,
Je me perdais dans mon âme,
Je me perdais sous les blâmes...
Mon amie à mes côtés,
Toujours là à m'épaulé.

Je fuyais dans la forêt,
Je fuyais et me perdais,
Je fuyais mes pensées,
Je cherchais à me dérobé...
A me dérobé de la vérité,
A me dérobé, à ne plus pensée.

Un jour je m'arrêtais dans la forêt,
Je m'arrêtais et me observais,
Mon âme était belle,
A travers les ridelle,
Des eaux qui tombais,
De mes pensées qui filaient.

Je filais à travers les arbres,
Les arbres de la forêt de mon âme...
Je réfléchis et me blâme,
De pensées peu banal...
Je pense au bien, je pense au mal,
Dans la forêt de mon âme.

Je m'assis au bord du ruisseau,
Le ruisseau de mezs pensées,
Des pensée de toutes sortes,
Des pensées oubliés,
Des pensées mal élevés..
Des pensées mal aimé.

J'aime réfléchir à l'avenir,
J'aime réfléchir,
Mais sur mes pas,
Je ne reviens...
J'ai fais du chemin se n'est pas pour rien...

Et personne ne m'en blâme,
Dans la forêt de mon âme.